Le corpus que je vous propose aujourd'hui se compose de trois scènes extraites de la pièce de théâtre "L'École des femmes", écrite en 1662, afin de répondre à la problématique : "En quoi ces extraits proposent-ils une conception comique du mariage?"
Ces scènes, sont des comédies écrites en prose. Pour chacune d'entre elles, Molière nous expose la conception du mariage à travers les discussions de deux personnages.
Le mariage est l'enjeu principal de cette pièces. Dans l'École des femmes, deux amis, Arnolphe et Chrysalde,discutent du futur mariage d'Arnolphe. Arnolphe expose son point de vue sur l'épouse idéale et l'éducation qu'elles doivent avoir reçu. (V.26-27)« Tant, que j'aimerais mieux une laide bien sotte, qu'une femme fort belle avec beaucoup d'esprit » Ici, nous avons un homme qui a une peur maladive de la femme, il est obsédé par la crainte du cocuage. Il décrit toutes les infortunes qui menacent un homme l orsqu'il se marie : l'infidélité des femmes. Cette scène nous présente donc, l'obsession d'Arnolphe (avoir une femme stupide pour en faire ce qu'il veut).
Ces scènes, sont des comédies écrites en prose. Pour chacune d'entre elles, Molière nous expose la conception du mariage à travers les discussions de deux personnages.
Le mariage est l'enjeu principal de cette pièces. Dans l'École des femmes, deux amis, Arnolphe et Chrysalde,discutent du futur mariage d'Arnolphe. Arnolphe expose son point de vue sur l'épouse idéale et l'éducation qu'elles doivent avoir reçu. (V.26-27)« Tant, que j'aimerais mieux une laide bien sotte, qu'une femme fort belle avec beaucoup d'esprit » Ici, nous avons un homme qui a une peur maladive de la femme, il est obsédé par la crainte du cocuage. Il décrit toutes les infortunes qui menacent un homme l orsqu'il se marie : l'infidélité des femmes. Cette scène nous présente donc, l'obsession d'Arnolphe (avoir une femme stupide pour en faire ce qu'il veut).
Ensuite, dans l'acte 1, Scène 4, Arnolphe, déguisé en "Monsieur La Souche" découvre qu'Horace n'est d'autre que l'amant d'Agnès. Horace, ne sachant pas que ces deux hommes sont la même personne, critique ouvertement, Arnolphe (ce qui rend la scène comique, grâce à l'ignorance d'Horace) : "C'est à dire oui ? Jaloux à faire rire ? Sot ? Je vois qu'il en est ce que l'on m'a pu dire" (v.337), "C'est je crois, de la Zousse ou Souche" (v.349).
Puis,dans l'Acte II, scène 2, (v2à100) "Et voici de ma poche"-"XIe Maxime" Après avoir administrer une morale à Agnès, Arnolphe lui fait lire les premières maximes de "MAXIMES DU MARIAGES OU LES DEVOIRS DE LA FEMME MARRIE" ce qui exprime une nouvelle fois l'obsession d'Arnolphe, qui est comique.
En conclusion, ce corpus me semble intéressant afin de travailler sur la notion de "comédie" au sein du Théâtre classique.
Alizée.
Bjr Alizée.
RépondreSupprimerClarifie ton article. Il faut qu'on voie facilement de quels extraits tu parles. Indique-les en début de paragraphe.
Au lieu de proposer une problématique très générale (celle d'Anthéa d'ailleurs), pourquoi n'en proposes-tu pas une qui tourne à la fois autour de la notion de comédie et de celle du mariage. C'est en effet toi-même qui soulignes que ces 3 extraits proposent une conception du mariage.
Problématique changée, et article clarifié. (extraits en gras)
SupprimerTB travail qui a été amélioré. Les références du 1er extrait ne sont tjs pas indiquées.
RépondreSupprimer9/10