Pour faire travailler la classe de 2nd3 sur la notion de comédie qui a pour but de divertir et de faire rire, tout en dénonçant des ridicules, des vices, des abus sous plusieurs procédés. Je vais vous proposez un corpus avec des extraits de L’école des femmes de Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière dramaturge, comédien et chef de troupe de théâtre français, avec pour problématique :
« En quoi ces extraits sont ils intéressants pour travailler sur cette notion de comédie ?»
Pour commencer, je propose dans l'extrait de l'acte I scène première, les deux amis, Arnolphe et Chrysalde, discutent du futur mariage d'Arnolphe. Arnolphe expose son point de vue sur l'épouse idéale et l'éducation qu'elles doivent avoir reçu. « Tant, que j'aimerais mieux une laide bien sotte, qu'une femme fort belle avec beaucoup d'esprit » (V 104-105). Ici, nous avons un homme qui a une peur maladive de la femme. Il décrit toutes les infortunes qui menacent un homme lorsqu'il se mari : l'infidélité des femmes.. Cette scène nous présente donc, l'obsession d'Arnolphe (avoir une femme stupide pour en faire ce qu'il veut). Il s'agit ici d'un comique de caractère, c'est le fait de dénoncer les défauts des hommes en tournant un personnage en ridicule.
En suite, on voit que la pièce comporte les principales caractéristiques du comique de mots: (phrase qui ne veulent rien dire, répétitions, réparties spirituelles et amusantes) pour exemple lorsque Arnolphe dit : « si les enfants qu’on fait se faisaient par l’oreille » (v.164) de l'acte I scène 1. Cette réplique emmène un moment de rire car c'est bien impossible de faire des enfants par l'oreille.
En fin, dans l'extrait de l'acte II, scène 5 le comique de situation ( qui
repose le plus souvent sur un quiproquo 'deux personnages comprennent les
mots dans un sens différent' ) est bien là dès le début , lorsque Agnès et Rodolphe entament une discussion lors de leur promenade, les deux personnages qui se connaissent et qui vivent ensemble depuis maintenant plusieurs années ont visiblement du mal a dialoguer et ne trouvent rien d'autres a se dire que « Arnolphe- La promenade est belle » « Agnès- fort belle. » « Arnolphe-Le beau jour ! » « Agnès- Fort beau ! »
En conclusion, on peut dire que ces extraits sont intéressant pour travailler sur la notion de comédie car celle ci peut s'utiliser sous différents procédés tels que le comique de caractère, le comique de mot, et en fin le comique de situation, ce qui nous offre plus de possibilité de divertir le lecteur.
« En quoi ces extraits sont ils intéressants pour travailler sur cette notion de comédie ?»
Pour commencer, je propose dans l'extrait de l'acte I scène première, les deux amis, Arnolphe et Chrysalde, discutent du futur mariage d'Arnolphe. Arnolphe expose son point de vue sur l'épouse idéale et l'éducation qu'elles doivent avoir reçu. « Tant, que j'aimerais mieux une laide bien sotte, qu'une femme fort belle avec beaucoup d'esprit » (V 104-105). Ici, nous avons un homme qui a une peur maladive de la femme. Il décrit toutes les infortunes qui menacent un homme lorsqu'il se mari : l'infidélité des femmes.. Cette scène nous présente donc, l'obsession d'Arnolphe (avoir une femme stupide pour en faire ce qu'il veut). Il s'agit ici d'un comique de caractère, c'est le fait de dénoncer les défauts des hommes en tournant un personnage en ridicule.
En suite, on voit que la pièce comporte les principales caractéristiques du comique de mots: (phrase qui ne veulent rien dire, répétitions, réparties spirituelles et amusantes) pour exemple lorsque Arnolphe dit : « si les enfants qu’on fait se faisaient par l’oreille » (v.164) de l'acte I scène 1. Cette réplique emmène un moment de rire car c'est bien impossible de faire des enfants par l'oreille.
En fin, dans l'extrait de l'acte II, scène 5 le comique de situation ( qui
repose le plus souvent sur un quiproquo 'deux personnages comprennent les
mots dans un sens différent' ) est bien là dès le début , lorsque Agnès et Rodolphe entament une discussion lors de leur promenade, les deux personnages qui se connaissent et qui vivent ensemble depuis maintenant plusieurs années ont visiblement du mal a dialoguer et ne trouvent rien d'autres a se dire que « Arnolphe- La promenade est belle » « Agnès- fort belle. » « Arnolphe-Le beau jour ! » « Agnès- Fort beau ! »
En conclusion, on peut dire que ces extraits sont intéressant pour travailler sur la notion de comédie car celle ci peut s'utiliser sous différents procédés tels que le comique de caractère, le comique de mot, et en fin le comique de situation, ce qui nous offre plus de possibilité de divertir le lecteur.
Bonjour Layan.
RépondreSupprimerD'accord pour ce choix mais...
- ces 2 scènes sont trop longues. Choisis pour chacune un extrait qui comporte les caractéristiques comiques que tu relèves.
- 2 extraits ne font pas un corpus : il en faut au moins 3.
Rq : Arnolphe, pas Rodolphe.
Commentaire pas pris en compte. 2 textes au lieu de 3, trop longs. Analyse incomplète.
RépondreSupprimer4/10