A travers L’école des femmes de Molière, nous
pourrons définir ce qu’est la comédie par la problématique suivante :
« Pourquoi L’école des femmes
peut-elle être associée à la comédie classique ? ». Nous allons
trouver la réponse à cette problématique par des extraits de l’œuvre qui nous rappelleront
cette notion.
Le premier
extrait choisis est la scène 2 de l’acte I dans son intégralité, dans laquelle
Alain et Georgette refuse d’ouvrir la porte à Arnolphe, leur maître, qui y
frappe. Ils se disputent afin de ne pas lui ouvrir : Georgette trouve pour
excuse qu’elle « souffle le feu » V.206 et Alain, lui, à pour excuse
qu’il « empêche, par peur du chat, que son moineau de sorte. » V.207.
Ici, la réticence de chacun à ouvrir la porte à leur maître est flagrante par l’absurdité
de leurs excuses, et pourtant ils insistent jusqu’au final, lui ouvrir enfin.
Le deuxième
extrait se trouve dans l’acte II de la scène 5, du vers 197 « Outre tous
ces discours […] » au vers 217 « […] j’en suis quitte à bon compte ».
Ici, Agnès a rencontré un homme et en parle avec Arnolphe quand tout à coup,
Agnès déclare à Arnolphe que cet homme lui a prit quelque chose. Arnolphe, s’affole,
pensant que cette chose se trouve être la virginité d’Agnès. Mais au final,
Agnès avoue, désolée, que cette chose est en fait « le ruban qu’il lui
avait donné » V.208 sans même savoir à quoi il pouvait penser. Arnolphe,
soulagé mais pas sûr, tente de savoir si cet homme lui avait oui ou non prit sa
virginité mais il avait faux sur toute la ligne.
Pour finir,
le troisième extrait choisis est l’intégralité de l’acte IV, scène 9 et de l’acte
V, scène 1 dans lequel Arnolphe prévoit une embuscade avec Alain et Georgette
afin d’arrêter un traître qui tente de l’attraper dans la nuit en s’infiltrant
dans la maison. Mais l’embuscade échoue, au lieu de l’assommer, Alain lui porte
un coup fatal et se fait ensuite traiter de traître par Arnolphe qui lui, n’avait
pas pensé à cette éventualité.
Mayalen Protte
D'accord, c'est bien !
RépondreSupprimerTB travail, corpus intéressant. Quelques erreurs d'orthographe et de syntaxe.
RépondreSupprimer9/10